Entrainement Kishu

Spoiler:

Le soleil se levait sur Tsuki. Bien dissimuler derrière d’épais nuage gris, il avait du mal percer la brume de ses faibles rayons. La rosée recouvrait la rare verdures des rues. Les déserteurs étaient encore rares dans les rues. Pour quelqu’un de faible niveau, ce n’était pas l’heure de se lever. Les plus redoutables aiguisaient leurs armes, maitrisant ou pas leurs pulsions sanguinaires. Kishu était déjà lever. Il est curieux de le voir coucher, ce grand jeune homme au teint presque maladif. Ses yeux souvent cernés indiquaient son manque de sommeil. Mais il avait pris ce rythme, du temps où il était vagabond. Se lever aux aurores, trancher un cou, et marcher. Il marcha jusqu’au lavabo, et frissonna au contact du carrelage froid. Il se lava le visage, l’eau froide le réveillant brusquement. Son visage s'étira en un bâillement, et il mit son café à chauffer. Il avait cette habitude de vivre dans le noir, et ses rideaux étaient toujours baisser, laissant une faible lumière filtrer entre deux stores. Il sortit d’un tiroir une chemise blanche et une cravate noire. Il s’habilla, avec comme seul fond sonore, le café qui crépitait dans la petite casserole.

Lorsqu’il sortit de son appartement, il plissa les yeux devant la lumière, bien que très faible qui contrastait avec l’obscurité de son deux pièces. Un homme le regarda d’un air mauvais, mais Kishu ne lui adressa même pas un regard. Il avait l’habitude des intimidations ici, c’était une île de déserteurs sanguinaires après tout. Heureusement, le trajet de chez lui jusqu’au port était très court. Il prit une petite rue à droite. La grande route menait directement au port. Les vieux pêcheurs déchargeaient de la marchandise sur le quai, même pas écœurés par la forte odeur de poissons. Encadré par deux solides falaises noires, le port était bien rempli. Sur chaque quai, une dizaine de bateaux étaient amarrés. Des vieilles barques, des voiliers, ou des canots a moteur, bref toutes les embarcations qu’avaient abandonnées les habitants de Tsuki après avoir tuer leur capitaine. Kishu quittait maintenant le goudron pour arriver sur un sentier de pierre. En face de lui, les grilles imposantes de Tsuki. Elle ne servait pas a grand-chose, car plus personne n’empruntait ce chemin, mis a part le ninja. D’ailleurs, derrière cette barrière, il n’y avait qu’un précipice qui donnait sur des rochers menaçants, tantôt recouvert par la mer. A sa gauche, un chemin étroit lui permettait de regagner rapidement le port lorsqu’il apercevait l’ombre d’un visiteur à « accueillir ».

Ses longs doigts défirent la courroie qui attachait sa faux à son dos. Il récupéra l’arme de son autre main. Le métal noir râpa le sol. Aussi rapide que l’éclair, il bondit sur un des poteaux qui soutenait la grille. Impressionnant n’est ce pas, cette silhouette noire ? Sa cape claquait au vent, et son regard était fixé sur l’horizon. Son visage angélique n’exprimait que détermination et froideur. Il entendit les pas furtif d’Edwin, le loup qui l’accompagnait derrière lui. Il tenait un lapin dans sa mâchoire. Combien de temps passait ce jeune homme debout ici ? Aucune idée. Ce fut dans l’heure suivante que l’ombre d’une barque se dessina a l’horizon. Elle était encore loin, aussi Kishu du attendre encore un peu. Lorsqu’il jugea qu’elle était assez proche, il bondit au sol, et s’engagea sur le sentier. Sa faux râpait la pierre noire, faisant trembler la roche en un son guttural.
Il était percher en haut d’une vieille maison en ruine, à proximité du quai lorsqu’un blondinet mit pied a terre. Kishu attendait, un geste… Le matelot demanda quelques pièces au garçon. Celui-ci sortit son kunaï et vint le placer sous la gorge de l’homme, qui donna un coup de rame, et parvint a se reculer juste avant que la lame ne lui tranche la gorge. Le junin bondit alors au sol. Le visiteur n’avait pas assez de conviction. Il vint se placer derrière lui. Le blondinet voulu bouger, mais lui aussi se retrouva avec un poignard sous la gorge.

« Ici, on a, comment dire, une sorte de rite ? »

Il réapparu derrière le marin, qui se dépêchait de reprendre la mer.

« Personne ne ressors vivant d’ici. »

Le sang gicla sur la belle chemise de Kishu. La tête de l’homme retomba sur son torse. Ses yeux bleus n’exprimaient plus rien. Le sang commença à couler en abondance sur les vêtements du malheureux, tandis que Kishu essuyait son poignard sur un mouchoir. Un claquement dans l’air indiqua que le jeune homme changeait de place. Il réapparut devant le garçon. Il était jeune, 16 tous au plus. Son bandeau frontal de Kiri était barré en son milieu. A quelques centimètres de son visage il murmura :

« Alors petit, d’où vient tu ? Que fait tu sur cette île ? »

Son interlocuteur recula de quelques pas, et fronça les sourcils, farouche. Il hésita puis dit prudemment :

« Je vient de Kiri, je m’appelle Shinshu. Et vous, vous êtes la douane ? Faut passez un test avant d’entrer ici ? »
« Non, pas la douane, la faucheuse. J’emporte les plus faibles. Tsuki n’a pas besoin de lâches. »
« Tant mieux, je ne le suis pas. »

Il fit mine d’avancer en direction de la rue, mais Kishu le retint.

« Hep, hep, hep… Oui il faut passez un test… »

Il lâcha un parchemin explosif et bondit en arrière. A quelques mètres, il attendit que la fumée se dissipe. Le ninja de Kiri avait de bons réflexes. Il avait profité de la vapeur pour composer les signes d’un jutsu. Il leva ses mains devant lui, et de ses paumes sortirent 4 boules d’eau compactes. Celles-ci filèrent droit sur Kishu. Il en évita deux, et profita d’un bref répit pour souffler un large film de vent. Le jutsu suiton rebondit contre son jutsu, et se retourna vers son expéditeur. Comme Kishu l’avait prévu, le petit blond les évita avec facilité mais ne vit pas voir les deux lames de vent qui s’était détaché du jutsu premier. Les deux « bras » futon vinrent s’enrouler autour du garçon. Il grimaça, sous l’étreinte qu’exerçait sur son torse la technique. Cependant, il arriva à malaxer son chakra, ce qui est relativement difficile dans sa situation. Une protection d’eau vint éclater le futon. Il respira longuement, mais n’eut pas le temps de se reposer. Une nuée de pierres fonçaient sur lui. Chacune d’elles étaient entourer de foudre et visaient son visage. Les premières furent stoppées par sa protection d’eau, mais les autres vinrent frapper son visage et écorcher ses bras qui tentaient de stopper les roches. Kishu observait l’adolescent se débattre. Il venait de réfléchir à un nouveau jutsu. La foudre était vaincue par l’eau, mais pas le vent. Il l’avait compris, combiner avec de la roche, c’était bien pratique. Et si il arrivait a infiltrer du futon dans le sol, servant ainsi comme une technique doton ? Oui, mais comment ? La solution lui parut évidente. Avec sa faux bien sur ! Tester un nouveau jutsu en plein combat c’était risqué, mais Kishu aimait le danger.

Il changea donc d’affinité. Comment ? Il ne pourrait vous le dire. C’est quelque chose qu’on ressent. Lui s’imaginait 3 réservoirs : un suiton, un futon et un découvert tous récemment mais qu’il affectionnait tous particulièrement, le Raiton. Pour passer de l’un a l’autre, il devait se concentrer sur son chakra. Il apparaissait d’une couleur différente à chaque affinité. Bleue pour l’eau, blanc pour le vent, et jaune pour la foudre. Il était donc blanc lorsqu’il apparut autour de sa main. Il se concentra donc a le faire passer dans le manche de son arme, puis dans sa lame, qu’il avait enfoncé dans la terre. Il n’eut, hélas pas le résultat obtenu. Des graviers giclèrent hors du sol, dessinant le parcours du vent. Kishu stoppa le jutsu. Il avait scindé la terre en deux. Tiens, il faudra qu’il développe cette technique…Mais pour l’heure il voulait faire une onde de choc. Shinshu ne lui laissa pas le temps de réfléchir, il contre-attaqua. Sa spécialité semblait-être le corps a corps. Il tenait fermement dans sa main droite un katana d’eau. Il maniait avec agilité et dextérité, et Kishu échappa de justesse à un de ses coups. Mais sa faux était a lui depuis bien longtemps, il connaissait sa force. Il fit mine de vouloir l’attaquer, puis l’envoya valser du revers de sa lame. Avant qu’il ne se redresse, Kishu recommença sa technique. La pointe de Zan’shi dans le sol. Le chakra blanc parcouru la lame. Lorsqu’il arriva au niveau du sol, le Junin fit en sorte de l’écarter. Il sentait le vent couvrir un périmètre de 2 mètres de rayon. Et son adversaire se trouvait dans cette zone. Kishu retira sa lame, et, de son manche frappa le sol. Le vent, a l’intérieur de la terre s’ébranla. La terre se fendit, faisant voler ses pierres, se craquela. Au milieu, Shinshu se faisait aspirer par le gouffre. Il saignait beaucoup, il était blessé de partout. Il ne pouvait plus se défendre, et n’eut que la force de cracher aux pieds de Kishu lorsque celui-ci s’approcha. Le jeune homme saisit le ninja de Kiri par le col, pour que son visage soit à la même hauteur que le sien. Il prit son poignet et glissa dans sa main droite son poignard.

« Tue-moi. »

Le blondinet écarquilla les yeux. Cet homme voulait qu’il le tue ? Il serra les dents, puis d’un coup sec trancha la gorge de Kishu…Ou plutôt de son clone. Au contact de la lame, il explosa. Sa fumée se dissipa, faisant apparaitre l’original. Shinshu leva les yeux vers Kishu. Ce dernier lui tendit la main. Son « ex-adversaire » avait réussi le test. Bien sur, il ne l’avait pas battu, mais il avait des capacités. Le ninja de Kiri s’aida du jeune homme pour se relever. Il lui glissa a l’oreille:

« Bienvenue a Tsuki »

Ier partie: Souvenirs, souvenirs.

La brume recouvrait les flancs verdoyants de Tsuki. On apercevait juste les contours de ses falaises noires. Pourtant, lorsque que le ciel était dégagé, on pouvait admirer la remarquable flore que comprenait l’île. Des fleurs délicates foulaient le sol, recouvert d’une herbe fraiche et épaisse. Les rochers étaient plus nombreux que les arbres sur les hauteurs. Si on s’approchait du bord on était souvent pris de vertige. On pouvait voir la falaise descendre à pic sur une distance de 40 mètres environs. Quand la marée était basse, on pouvait marché au creux des côtes, mais les pierres étaient si pointues et leurs équilibres si incertains, qu’il était peut prudent de si aventurez. Mais aujourd’hui, la marée était haute, et faute de les voir, on attendait les vagues s’écraser avec fracas contre les parois. Kishu était assis sur un des poteaux de la grille de Tsuki. Il inspirait avec plaisir les embruns de la mer, cheveux et cape au vent. Il semblait insensible au vent et a la bruine matinale qui balayait l’île. Ses yeux étaient perdus dans le trait interminable de l’horizon. Il pensait. Il se remémorait ces anciens souvenirs. Les entrainements que lui faisait faire son père. Celui-ci ne faisait pas partie des ninjas de Kiri, mais connaissait curieusement de puissantes techniques. Il lui en avait appris quelques unes. Beaucoup d’entre elles, Kishu n’avait jamais réussis à les maitriser. Il se voyait encore, le nez collé contre la vitre de la cuisine, regardant son père s’entrainer avec un de ses amis. Sa mère l’empêchait de rester avec les deux hommes, elle craignait qu’il ne se blesse. Mais percher sur une chaise, il ne manquait jamais ce spectacle.

Le vent s’engouffrait dans leur petit jardin, faisant coucher les arbres et faisant reculer son adversaire. Son père se laissait alors guider par la force du vent, et en un saut il avait atteint la hauteur de son adversaire. C’était l’ami de la famille, Junin de Kiri. Il se nommait Lothuas. Le paternel frappait donc la tête de Lothuas de sa paume. Kishu n’avait pas compris sur le coup ce qui s’était passé, mais le Junin semblait perdre de la force tous au long du combat. Son père lui avait expliqué ensuite. Un sceau apparaissait, formant les lettres d’Interdit. Pendant tous le combat, l’adversaire se vidait de son chakra. Son père lui avait appris ce jutsu, de niveau chunin. Il était périlleux a réalisé, car pendant tous le combat, il fallait garder a l’esprit son existence, pour ne jamais relâcher son chakra. Il avait toujours eu l’ambition de réussir ce jutsu au niveau Junin, qui vidait presque entièrement l’adversaire de son énergie naturelle. Il faudrait qu’il réessaye un de ces jours…Kishu avait remarqué que son père maitrisait largement Lothuas. Celui-ci ne lançait que des ninjutsu, certes puissants, mais son père les évitait avec une telle facilité ! L’air sifflait sous ses attaques futon, et l’herbe brulait sous le katon. Son père profitait du court moment ou Lothuas fermait les yeux pour cracher une langue de feu, et se faufilait derrière lui. En une pirouette habile il faucha ses jambes d’une balayette avisée. Son père ne lui avait pas appris, elle était trop compliquer, mais elle consistait à faire subir a son ennemi une sensation de picotement, bientôt suivit de l’impression d’un membre broyer. En effet, Lothuas secouait vainement sa jambe pour enlever cet horrible effet. Il achevait son entrainement par son dernier sceau, qu’il appliqua sur sa poitrine. Aussitôt, le Junin se convulsa sous les flammes imaginaires qui le dévoraient à présent. Kishu s’était entrainé dur pour réussir ce jutsu. L’homme fit un geste de la main, et son ami sembla prendre conscience. Il resta quelques instants au sol, puis se redressa. Il était très rare qu’il gagne.

IIe Partie: Remise en forme.

Ces jutsu, Kishu les connaissait presque tous, a part les mots verts. Mais aujourd’hui, il n’était plus genin, et pouvait passer au niveau 2 de chaque jutsu. Il ouvrit ses yeux couleur métal. Une lueur un peu terrifiante brillait en leur milieu. Un rictus se dessina sur ses lèvres, lorsqu’on aperçut au loin l’ombre d’un bateau. Ce nouvel arrivant tombait à pic, il allait servir de cobaye. Il bondit à terre, et d’un geste vif défie la courroie qui retenait sa faux à son dos. De sa main gauche, il la récupéra et la planta dans le sol. Aujourd’hui, il ne se servirait que de son ninjutsu. Avec l’élégance et la souplesse du pas d’un chat, il rejoignit le port, et arriva au même moment que le petit nouveau. Il alluma une cigarette et s’adossa à un mur avant de jeter un regard au novice. Il était jeune, et, si son chakra disait vrai, il devait être chunin. Il descendit de la petite embarcation, et jeta une pièce au matelot qui l’avait conduit. Il passa devant Kishu sans lui adresser un regard. Il fit à peine deux mètres que, soudain, il porta sa main droite à sa gorge. La fumée assassine de sa clope était en train de l’étrangler. Il relâcha la pression, faisant glisser les filaments dans les cheveux de sa victime, et brusquement, l’avança vers lui, aussi bien que chunin sentit à pleins poumons l’odeur désagréable de la cigarette. A son cou, pendait le bandeau frontal du village de Suna.

« Tu nous viens de loin toi…Ton voyage c’est bien passer ? »

Pour toute réponse, le Sunite sortit une dague de sa poche et la brandit en direction de Kishu. L’arme se planta dans une souche. Kishu s’était subtilisé, et il réapparut juste derrière lui. Le chunin produit ce qui ressemblait à un dôme de vent, et qui propulsa le jeune Shikkoku à plusieurs mètres. Le combat à distance lui permettrait de tester son nouveau technique futon. Il composa des signes semblable a une autre technique suiton. Mais au moment de l’envoyer sur son ennemi, il ne se produisit…rien. Etonner, le Sunite contrattaquas. D’un geste ample, il dégaine un katana, qu’il planta dans le sol. Ceci provoqua une onde de choc qui craquelait le sol goudronné de Tsuki. Kishu bondit, et se rappela juste avant de retomber dans la crevasse qu’avait causée la technique, des signes à effectuer. Il avait de la chance d’avoir une bonne mémoire ! Rapidement, ses doigts formèrent les signes, et un vent violent s’engouffra dans le port. Il fit un bond en avant, pour se retrouver dans le flux puissant du jutsu. Le chunin fut reculer de plusieurs mètres par la force et fut bientôt atteint des désagréables nausées que provoquait le Vent Noir. Kishu lui se rapprochait de plus en plus de la falaise. Il arrêta la technique, et rebondit contre la pierre pour repartir, bras tendu vers son adversaire. Il malaxa son chakra et dans une immense concentration, des lettres d’un bleu vif. Sa paume heurta violemment la tête du Sunite, laissant imprimer sur son front le mot « Interdit ». Kishu lui laissa le temps de se redresser, il ne voulait pas le tuer toute suite. Le chunin se redressa, étourdit par le choc. Puis il resserra son étreinte sur le manche de son katana, et dans un hurlement sauvage bondit sur le junin. Celui-ci fit apparaitre une lame de vent. Il bloquait avec facilité ses attaques, distinguait ses feintes avec facilité. Il adorait l’escrime, mais il du se résoudre a apprendre ses nouveaux jutsus. Il tenta les mots verts. D’un puissant revers de sa lame, il repoussa son adversaire. Le temps qui se redresse, il malaxa son chakra, et dans sa main, le mot « impression » jaillit en vert vif. Lorsque le Sunite revient à l’attaque, le jeune Shikkoku attrapa son bras. Le contact fut bref, mais suffisant.

Son rival se tenait l’épaule, cherchant à se défaire de cette impression d’écrasement. Apparemment, l’effet de « broyage » était réussi car il poussait à présent des gémissements très convaincants. Il profita de la douleur imaginaire que subissait son ennemi pour exécuter sa dernière technique. Les mots rouges. Il n’avait jamais réussis à le faire étant petit. Curieusement, tous ces techniques de mots lui étaient venu presque naturellement, il n’avait pas a composer des signes. C’était comme un pouvoir héréditaire qu’il tirait d’il ne savait quel famille. Il savait juste qu’il devait ce concentrer pour que son chakra rejoigne sa paume et penser très fort au mot et a ses effets. Les effets du mot rouge étaient une sensation de brûlure extrême. « Incendie » apparut dans sa paume. Avec force, il frappa sa poitrine, lui bloquant la respiration pendant quelques secondes. Lorsqu’il inspira enfin de l’air, il ressentit une vive douleur. Le chunin se tordait au sol, à la proie d’un incendie et d’un compresseur imaginaire. Kishu le regarda quelques instants, puis prit le katana du Sunite et le rendit a son possesseur premier, en le plantant avec indifférence dans sa poitrine. Il eut un dernier soubresaut, et ses yeux devinrent vides.

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