Uemura Sozui | UC*

«You Are Beautiful
Dont Mather What You Say »

Sozui était née dans les montagnes. L’air y était doux et frais mais surtout pure. Ses parents, enfin, ce qu’il prenait pour ses géniteurs, n’avaient pas d’autre enfants, fils unique, il était chouchouté. Enfin, si on peut parler des même traitements avec des gens portant le nom des Kaguyas. Oui, Sozui s’appelait auparavant Kaguya et non Uemura. Ce n’était qu’une petite communauté de moins de dix personnes, ils élevaient leurs fils selon leurs principes et leurs traditions. On peut donc dire que notre jeune homme fut élevé à la dure. Mais pour le moment, ce n’est qu’un bambin… Regardez le, un ans à peine, les joue roses et le teint légèrement blanc, un véritable bout de chou. Pourtant ce n’était que des regards haineux et très froids que l’on jetaient à l’enfant tendant les bras pour s’amuser, riant et bavant pour faire rire ses parents. Il n’y avait point de tendresse chez eux, et c’est bien normale. Ils étaient bien connus pour cela… leurs dureté et leurs barbaries, cette soif de sang pulsant dans leur veines.

De plus, dans le cas de Sozui, c’était plutôt particulier car il n’était même pas un des leurs. Il n’était qu’un rejetons donné à cette famille, même pas leurs fils. Cependant, ils l’aimaient car ils étaient stériles et avaient, après des dizaines et des dizaines de tentatives non fructueuse, ils avaient abandonnés.

Mais vous me poserez sûrement la question : « Quel est donc les véritables géniteurs de cet enfant ? ». Et bien, pour découvrir l’origine de notre jeune ninja, il faut aller dans un village aux pays de l’eau… Kiri. Vous y trouvez-vous ? Très bien. Entrons dans cette maisons chaleureuse par cette nuit orageuse. Deux parents, trois enfants. Deux filles et un garçon. Il sont autours d’une table, la plus petite, une fille, à deux longue nattes qui parte de la base de son coup, la secondes, portant une coupe aux carré observe la bonne ambiance générale tandis que le grand frère, un sourire aux visages, illumine la pièce de son humour. Un tableau parfait, une pièce manquante. Dans le froid de la montagne, dans une maison tout seul, un enfant pleure car il a peur.

Sozui Uemura étant un enfant illigitime. Une erreur commit par une routine trop heureuse d’un couple déjà parents de trois enfants. Un père possédant un désir, une jeune femme facile à séduire. La fertilité de l’un des corps viens effacé la manque du deuxième… Ainsi naquit le Ninja de la brume. Le père, trop honteux et ne voulant attaché à al réputation de sa famille, le confia à de lointains parents. Enfin, ce qu’il pensait être des parents. Des Kaguyas, ils n’avaient rien en commun bien qu’il en soit persuadé… Bien sûr, il donna pas mal d’argent aux deux individus auquel il confia son fils.. Enfin, l’enfant qu’il avait crée. La jeune femme n’en parla plus car elle ne voulait s’attirer elle aussi le déshonneur. Les parents d’adoptions eux, en étaient heureux, il avait un fils en plus d’argent, il pourrait donc faire des réparation dans leurs modeste chaumière. Et ils se gardèrent bien e leurs dire qu’il n’avait auquel liens, sinon, l’homme aurait trouvé un autre moyen, de peurs de voir un petit être maltraité à la mode du clan.

Entre Dureté et Soie, entre Intrigues et Mystères, entre Acier et Chaire. Sozui Uemura est un petit enfant déjà entouré d’actions et de tout ce qui fait ce monde

Le Mensonge

Il fut donc élevé comme tout les Kaguya. Dès ses cinq ans, ont lui appris à se mouvoir tel un ninja, à penser tel un ninja, à manger, à boire, à vivre tout les jours comme un ninja. Il n’était déjà plus libre. Bien qu’il ne s’en rendait pas compte, ils faisaient de lui une arme alors qu’il venait à peine de naître. L’apprentissage se fit tout d’abords tout doucement. On le nourrissait moins, on le promenait de plus en plus souvent et loin, on lui parlait des Kaguya comme la plus grandes des familles, lui appris à détester tout ce qui n’était pas de sa famille et à être xénophobe. Enfin, on lui appris pas directement , mais c’était là, la base de son éducation.

Comment, dès lors, ne pas en ressortir avec des séquelles ? Comment ne pas devenir un bloc de glace, impénétrable et sans pitié. En même temps son sang bouillonnait en lui à chaque fois qu’il sortait du petit village. Il avait envie de découverte, et n’avait pas comme ses parents, peur de voyager et de rencontrer d’autre personnes. Il n’avait que huit ans mais agissait déjà comme un Uemura de réflexe. Il cherchait toujours une explication, se passionnait pour la lecture même basique et était très curieux. Mais il était aussi porté très combat. Il avait appris par cœur toute les postures de bases aux Katanas, apprenait par cœur les Katas, s’entraînait une heure chaque soir avec son père et avait un raisonnement logique et concret, intelligence de guerrier.

Il se façona peu à peu, ses muscles prenant l’allure de ce qu’il sont maintenant. Il y avait tout de même un Hic. Il préférait les livres d’anatomie ou de biologie (pour enfant =) que n’importe quel livre de dessins guerriers. Il préférait même les sembons aux petits bokens qu’il avait dans sa chambre. Et puis, bien vite, il apparut qu’il n’avait aucune hérédité des Kaguyas, à pars peut-être les deux points rouges sur son fronts. Et les deux parents, s’enfonçant toujours plus dans leurs mensonges, dirent qu’il était sans doute en retards.

L’héridité mis en cause, on méprisa la famille. Eux qui voulait un enfants pour ne aps être montrés du doigts furent limites hué. Et cette enfant de douze ans, qui n’avait plus rien en commun avec eux, les dégoûtait presque. Le père partis donc dans une ancienne grotte en montagne. Réputé pour être un ancien repaire des Uemura.
Il en revint trois jours plus tard avec un drôle de parchemins, des chronique et des explication sur leurs fameuses hériditées. Et une drôle de technique, interdite, qui permettait le développement partiel du talent de ce clan voisin aux Kaguyas. Ils n’hésitèrent pas, même en lisant que cela pouvait être danger pour Sozui. Après cela, le jeune homme devint puissant et sembla être un membres du clan ancestrale de Kiri.

Mais laissé un parchemins paraissant si vieux à la vue d’un jeune homme si curieux n’était pas une bonne idée. Surtout lorsqu’on voulait éviter ce genre d’incident. En découvrant la vérité, Sozui, qui avait quatorze ans à l’époque et commençait à devenir un beau garçon décida de partir en secret, embarquant avec lui ses sembons, le masques et des affaires de rechanges.

Il n’eut quasiment aucun regret à partir. Il cadenassa tout cela au fond de son cœur.

Il est vrais que partir fut une décision d’adulte. Mais d’une montagne en pleine hiver, n’était peut-être pas une bonne idée, même pour quelqu’un de sa puissance –qui environnait celle d’un chuunin. Il ne pouvait pas lutter contre le froid, la neige et tout les éléments naturel qui se déchaînaient contre lui. Malgré sa peur, il continua à avancer, malgré ses chevilles s’enfonçant un peu plus dans la neige à chaque pas, sa volonté ne vacilla pas, même lorsque ses dents claquaient de froid et d’effroi ou ses os lui faisant un mal de chien, et que ses yeux clignaient à cause des flocons qui s’évertuaient à brouiller sa vision, jamais il ne fit demi-tour, rentrer la queue entre les jambes comme un chien battue ? Jamais, sa fierté ne le lui permettait pas. Sozui n’avait jamais imaginé qu’il habitait si loin de la ville… Pourtant, le mois dernier, ils n’avaient mis que deux heures pour descendre en ville… Et cela devait faire au moins quatre heures qu’il s’éternisait dans le manteau blanc de la montagne.

Il commençait à ne plus sentir ses doigts de pieds et les os de sa hanche droite le démangeait, comme une douleur lancinante, comme un piège, un pieu de métal s’enfonçant dans sa jambe plus il avançait. Mais jamais aucun obstacle ne pourrait le faire quitter ce chemin, jamais personne ne pourrait le faire quitter la vallée des yeux. Elle avait comme un goût de liberté cette douleur, et cela avait foutue goût ! Il avançait encore et toujours vers son objectif, vers cette vengeance…Vengeance d’une vie qui n’était qu’une erreur, qu’une illégitimité, vengeance au destin qui ne lui avait offert qu’une vie d’erreurs et de remords. Oui, il allait tout lâcher, il allait leur cracher son venin au visage, le venin qu’il avait crée… Son poing se serra et sa volonté s’affermit encore alors que son visage se fermait de plus en plus, ses yeux bleu et perçant s’assombrissant comme le soleil caché derrière une crête.

Il ne marchait plus, il titubait tel un homme ivre. Il ne titubait plus, il ne marchait plus, il avançait tel un enfant. Il n’avançait plus, il rampait. Il n’en pouvait plus, il était arriver à la limite…

*Alors voilà le dénouement d’une vie raté, d’une erreur de jugement ? La mort …Epuisé et recouvert de neige tel un…Minable ?*

Non, jamais. Son ego se révolta. Une colère noire s’empara de son corps et lui donna la force de se relever, en s’appuyant sur une pierre. Une pierre ? Trop grands. En clignant des yeux, il parvint à distinguer la forme d’une maison. Se jetant à l’intérieur tout en trébuchant, il cligna des yeux à cause de l’obscurité. Seul un brasero déposait d’ici et de là des tâche jaunâtre et rendait la scène encore plus inquiétante. Il vit une paillasse, ou un vieille homme était assis en position du lotus, position favorite des Yogi. Il ne respirait pas et ne faisait aucun mouvement. S’approchant lentement, Sozui crut d’abords qu’il était mort. La peur et la fatigue avait laissées place a sa curiosité naturel. Curiosité morbide, curiosité contre nature ? Non, car chacun sait que l’homme est attiré par la mort, que cela les fascinent… Qui peut prétendre ne jamais l’avoir eut ? EN tout les cas, notre jeune homme l’avait. Il s’avança encore d’un pas et lorsque l’homme ouvrit les yeux, lui faisant une grimace, il fut tellement étonné ainsi qu’apeuré qu’il recula vivement, trébucha sur une botte par terre et s’écrasa au sol inconscient.

Il s'était écroulé de fatigue.

Je passerais, pour des raisons particulières, les détails de la rencontre et tout ce qui s’en suivit. Laissons un peu de suspense vous faire saliver et envie de suivre les histoires du jeune homme. D’ailleurs, approchons nous du village de Kiri, les évènements qui vont se passer là bas me paraissent digne d’intérêt.

La lune était grosse. Elle cachait presque le ciel. Eclairant de sa robe la terre et les cascades se trouvant à proximités, le paysage était magnifique. Mais peut-être que demain, la lune serait rouge. Une ombre avançait doucement dans le brouillard… Brouillard épais, brouillard compacte, al seul chose que l’on voyait lorsque l’ombre s’approchait, c’était son masque, pareille à celui d’un Anbu, à l’effigie d’un chat sauvage.

Se déplaçant comme s’il était non plus un homme mais ce chat, il aurait été très difficile de le repérer si un Juunin spécialisé dans l’infiltration ne serait passé par là. Il remarqué le faible éclat de la lune sur le kimono de Sozui ainsi que le léger déplacement des feuilles à son passage. Prenant un Kunaï extrêmement bien placé, il s’attendait à entendre un cris de douleur ou au moins un soupire mais n’entendit que le hululement de l’hibou passant près de lui. En effet, sur le qui vive, le jeune Ninja avait à peine réussit à esquiver l’arme du Ninja. Il était éraflé au ventre et n’aimait pas sa, en plus d’avoir détruit son dernier Kimono correcte , u devrait s’infiltrer blessé. Prenant une bouteille d’alcool dans son sac, il désinfecta la plais et banda à l’aide d’une longue bande de soie. C’étai en effet le reste d’un de ses vêtements.

Il repartit plus rapidement avant d’entendre le ninja crier :

Il serra le poing de frustration. Il n’avait pas réussit à passer les portes ! Il vit un Ninja s’approcher de lui à toute vitesse un kunaï a la main. Sans réfléchir, il attrapa un sembon et l’envoya rapidement dans le genoux de l’homme qui s’écroula. Il piqua le Bandeau frontale du Ninja et avança rapidement tout en faisant semblant de chercher. Lorsqu’on l’interpella, il montra son masque et son bandeau. On le laissa tranquille. Un sourire satisfait se peignant sur son visage, il avança dans la nuit, pouvant enfin savourer la fraîcheur de la nuit avec légèreté et non en restant à l’affût.

Le lendemain. Il se présenta au bureau du chef des anbus. Il lui raconta son histoire et lui pria de lui apprendre les arts Ninjas spécifiques. Il voulait protéger efficacement sa sœur . Il lui dit aussi de garder cette information secrète car la situation étant déjà grave, il ne voulait pas lui rajouter de soucis. Lorsque l’on passait Mizukage, on n’avait d’autre chose à penser que de s’occuper d’un gamin. Contre toute attente, l’homme accepta. Compréhensif pour un Anbu.

Là ou le Senseï de Sozui tiqua, se fut lorsqu’il découvrit le talent du jeune homme. Lui qui s’attendait à devoir lui faire voir les bases du Ninjutsu fut impressionné de voir qu’il possédait déjà une faculté innée dans l’utilisation du chakra. Surtout en taîjutsu et dans ce mystérieux style de combat ou on avait l’impression de le voir danser. Très vite Sozui atteignit le niveau Anbu (ou Juunin ). Il demanda a être assigné à la protection de Sayuri, cela faciliterais ses plans ainsi que la protection d’une partie de sa famille…

Le jour était maintenant arrivé, il devait prendre ses fonctions et enfin enlevé ce masque qu’il n’avait ôté depuis une fameuse nuit de brouillard…

Tout d’abords, se préparer. Avant une guerre la préparation est la meilleur des armes. Il devait inspirer la peur, il devait faire perdre courage à tous ceux qui le verrais dès qu’il entrerait en scène. Il devait être cette bête monstrueuse, ce démon des champs de batailles, cet homme qui peut changer le cours des bataille grâce à sa simple présence. Bien sûr, il aurait aussi ses meilleurs subordonnés pour cette attaque. Ils devaient tous agir comme un seul homme, comme si ils étaient une parts de lui. Efficacité et sobriété. Pas d’escarmouche ne durant plus de deux minutes. Pas de fioriture non plus, il ne voulait que de l’efficacité. Arisama, Kitsune, Kishu, Ragnar, Kimimaro et d’autres dont le nom lui échappait. En tout cas, il se rappelait de ceux de l’élite de son village. Tous minimum Chuunin et même une Juunine spéciale, que la crème des ninjas. Il savait qu’il partait avec un gros avantage en utilisant une formation rapide et petite mais connaissait aussi les inconvénients quand à sa stratégie. Oui, ils seraient plsu rapide et discret et l’effet de surprise devrait marcher à merveille. Ok, il était plus vunérable, devront être très rapide quant à leurs tâches et que si Konoha s’organiserait plus rapidement que prévue, ce serait difficile. Mais il ne se faisait pas de soucis. Il n’avait pas lancé cette attaque pour rien…

Cela faisait des mois qu’ils espionnaient les relations entre Kiri et Konoha. Des mois qu’ils voyaient les deux Kages se rapprocher et devenir carrément amant. Des mois que tout le monde se lamentaient sur cette nouvelles et cela faisait des semaines qu’Akira trouvait cela admirable. Il devrait sacrifier un Pion bien sûr, un pion qui devrait souffrir et devrait faire diversion tandis qu’ils s’occupaient de Konoha. Leurs objectifs n’était pas de mettre à feu et à sang, à violé et à détruire des familles. Bute autrement plus cruel pour certains, plus simple et dans l’optique du TsukiKage, ils allaient raser le village des cartes en faisant fuir tout les habitants de la feuille. Ainsi, ils mettraient des mois à tout reconstruire, des mois à pouvoir reformer des ninjas et cela servirait ses objectifs car le Hokage aurait bien à faire pendant ce temps. Et selon ce qu’il avait étudié, la MizuKage aussi. Une alliance, c’est bien, mais cela engage profondément les deux villages, volant leurs unités et leurs indépendances. Ils allaient souffrir d’une chose qu’il avaient construite car leur ennemi était fourbe, leurs ennemi était malin fort et cruel. Au moins, ils aveint raisons sur certains aspects de notre jeune homme.

Il enfila doucement son pantalon, concentré sur ce qu’il avait à faire, concentré sur la victoire assuré mais dont certains paramètre paraissaient incertains. Il allait faire très mal de toute façon, cela servirait ses sombres desseins illuminé par un objectif d’une incroyable pureté. L’homme porterait tout les chapeaux, tout les masques pour celui-ci, il accepterait d’être traîné dans la boue, exécuté et brûlé en place publique s’il le fallait. Enfaîte, il était une sorte de visionnaire, un martyre dont tout le monde se méfiait malgré son infinie douceur. Dans tout les actes qu’il ferait, il n’y verront que la mort et la cruauté assaisonné d’un brins de terreur. Il acceptait tout cela même si cela ne sera que sa seul récompense pour ses actions. Bien sûr, il ne faisait pas que de bonnes choses mais il était bien obligé. La force était le seul argument valable dans la jungle qu’était le monde des ninjas. Il soupira et repensa à cette fille. Blonde et belle, sont regard était d’un froid glaciale calmant le feu dans ses veines.

Il était pressé, il devait prendre rendez-vous au plus vite avec Destra Shizuka, chuunine de son état et fin stratège. Le clan destra était réputé pour son intelligence et sa fourberie. L’infiltration était aussi une de leurs spécialité. Malgré la réticence qu’il avait à envoyer cette femme, il ne voyait personne d’autre qualifié pour se rôle capital mais surtout sucidaire.

Il avait dit sa à l’ombre qui traînait près de son bureau et rentra dans son bureau. Ici, les mains sur le crâne, il souffla avant de dire à Shizuka.

Phrases saccadées, il ne voulait pas vraiment l’envoyer mais ne savait pas vraiment comment faire autrement. Il s’était pris la tête pendant deux ou trois jours avec sa conscience puis avec sa logique, pesa le pour et le contre et finalement décida de lui parler. Elle accepta sans aucun soucis. Elle était même déterminé à le satisfaire… Admirable, elle était tout simplement belle, voir même magnifique et serviable. Une véritable femme. Alors qu’elle voulait partir, il la retint de la voix. Une voix qui pouvait paraître froide mais dont une énergie particulière se dégageait. IL s’approcha d’elle, son cœur battant de plus en plus fort. Dans sa tête des souvenirs peu engageant s’étaient mis à danser devant lui… Sa mère, la mort, la souffrance. Il était presque fiévreux et ses yeux, ensorcelant, avaient comme capturés la jolie blonde. La jolie Shizuka. Le sang de ses yeux rappela le rouge de la passion et d’un seul geste, glissant sa main dans le dos de la jeune femme, l’embrassa. Passionnément, comme si c’était la première et la dernière fois, comme s’il lui insufflait des forces à travers sa langue qui jouait avec celle de sa compagne. Car à partir de maintenant, il la considérait comme-t-elle. Et lui dit dans un souffle.

Simple mot qui provoqua une explosion dans le cœur du Tsukikage. Disparaissant, il se remit à penser à la bataille, laissant seul Shizuka.

Ses mains avaient glissées dans le dos de la jeune femme, lui laissant un cadeau invisible. Mais elle qui le connaissait si bien devait avoir devinée quel était la nature du cadeau. Son chakra, transparent, sans aucune affinité, allait faire le reste. Et pendant qu’ils penseront que Kiri allait être attaqué, il dévasterait le village de Konoha.

Ils l’attendaient tous, prenant ses responsabilité, il prit la tête du groupe et activa le sceau qui leurs permettraient de se teléporter à une demi-heure de marche du village du Feu. Il fit un signe de sa main droite et un autre de la mains gauche. Se sceau avait mit du temps à être fait comme ceux qu’il leurs avaient donnés .La dose de chakra qu’il avait du y consacrer avaient été extraordinaire et tout ceux présent dans le palais a ce moment la avait pu ressentir des petits picotements au extrémité de leurs corps. Comme apr exemple ses sceaux d’explosion qu’ils devraient apposés à des points stratégique et qui, grâce à une triangulation, détruirait les trois-quart du village. L’autre quart, celui de la porte de Konoha, il en faisait son affaire une fois la mission quasi-terminé. De plus qu’il devait allait dans la tour du chef du village.

Il se stoppa à quelques centaines de mètres de son objectif.

Il se retourna vers son équipe. Ils avaient tous l’air déterminés, très bien. Il leurs dit. D’une voix tranquille, comme si ses ordres découlait de la mission, qu’ils coulaient de source :

Dit-il avant de mettre sa cagoule et de partir à une vitesse inimaginable, suivit de Kitsune.
Il dépassa rapidement le post des gardes, qu’il avait éliminé du revers de ses katana. Il se dirigea rapidement et étant discret vers la tours du Kage. Aux autres de jouer maintenant.
De toute façon à une heure aussi matinale….